La veille des Jeux olympiques d’été 2024, les rumeurs de surveillance ont fait émerger à Paris. Selon certaines sources, le Canada aurait utilisé un drone pour filmer Bev Priestman, entraîneuse de football féminin canadien, lorsqu’elle était en train de s’entraîner dans une zone réservée aux athlètes. Les accusations ont été qualifiées de ‘très sérieuses’ par les autorités olympiques et le Canada a immédiatement réagi en envoyant Priestman à la maison pour éviter tout incident. La décision a été prise après consultation avec les médiateurs sportifs internationaux. Selon certaines sources, Priestman aurait reçu un avertissement de sécurité suite à l’incident. Les autorités olympiques ont réagi en affirmant que ‘toutes les mesures nécessaires seront prises pour protéger la vie privée des athlètes’. L’incident survient quelques jours avant le début officiel des Jeux, qui sont attendus par plus de 10 000 athlètes de 206 pays. Les accusations de surveillance ont soulevé des inquiétudes quant à la sécurité et à la vie privée des athlètes.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *