Le Canada a décidé de suspendre l’entraîneuse en chef de l’équipe nationale de soccer féminin, Bev Priestman, pendant la campagne de défense du titre olympique 2020. Cette décision est prise à la suite d’une enquête menée par la Fédération canadienne de soccer (FCS) qui a révélé des informations sensibles sur les matchs passés de l’équipe nationale. La suspension a été ordonnée après que Priestman ait admis avoir divulgué des informations confidentielles relatives aux joueuses adverses à un membre d’un autre équipe nationale, ce qui constitue une violation grave des règles du soccer international. Selon les informations disponibles, Priestman aurait partagé ces informations avec l’entraîneuse de l’équipe nationale britannique en juillet dernier. Cela a provoqué une vive émotion parmi les fans et les joueuses canadiennes qui se sentaient trahies par leur entraîneuse en chef. La suspension de Priestman est effective immédiatement et elle sera remplacée par un autre entraîneur pendant la campagne olympique. Cependant, la FCS a annoncé que l’affaire ne sera pas portée à la couronne et que Priestman aura une nouvelle chance si elle peut prouver qu’elle a changé ses moyens et sa façon de communiquer.